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KINDER … SCHMILBLIK … deux mots que tout oppose en apparence. En apparence seulement. En effet, derrière ces deux mots aux accents germaniques que l’on ne trouve plus que dans le langage des habitants de certains villages bavarois reclus au fin fond de la forêt noire, là même où la bière est considérée, par lesdits habitants, comme une boisson divine dont-ils s’abreuvent ad libitum (oui je sais, ça fait super culturé, mais j’assume.). Au fin fond de cette forêt, disais-je, où ces accents abrupts font virevolter par leur musicalité unique, que l’on appelle dans les hautes sphères de la phonologie « musique finfonique ». Oh, c’est chiant, je n’arrête pas de me couper … donc cette musique finfonique fait virevolter le patois grinçant qui émane des bouches béantes de cette viande saoule autochtone. Euh … Je m’égare, là, non ?

Bon, revenons à nos moutons, ou dans ce cas précis, à nos 2 mots KINDER et SCHMILBLIK. Et bien, dès que je les ai reçus, cela m’a semblé être une évidence évidente. Comme 1 poussin égale 2 et d’œufs font quatre !!! Il fallait que je les mixe, les amalgame (ouch, attention, en ce moment avec ce mot, il est dangereux !) pour en tirer la quintessence. Je vous avoue que je n’en ai pas fermé l’œil de la nuit (et en même temps, comment le vérifier, me direz-vous), il fallait que j’y arrive. Que je ponde (marrant, non, l’association d’idée : Kinder/œuf/pondre. Oui je sais, je suis génial !) quelque chose de dingue, de fou, de gwabatlerplomufburtek !!!

Mais la voilà l’idée, un truc de fous. Un dessin surprenant auquel personne ne s’attend.

Je tiens, donc à remercier Djemâa et Anthony pour ce merveilleux défi lancé et maintenant que vous savez tout, je m’en vais remettre mon petit entonnoir, ma petite camisole, je prends mes petites pilules roses, et hop au lit !!!

Un truc de fous !

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